Les 12 métiers les plus en vogue en 2025-2026
Vous vous demandez quels sont les métiers les plus en vogue en 2025-2026 ? Le marché du travail évolue à une vitesse inédite : 40 % des emplois répertoriés dans le classement 2025 de LinkedIn des métiers en forte croissance en France n’existaient pas il y a 25 ans.
Cette transformation, portée par le développement de l’IA, de la transition écologique et par la digitalisation des entreprises, redessine complètement les parcours professionnels.
Que vous soyez en reconversion, en montée en compétences ou à la recherche d’un secteur d’avenir, identifier les professions réellement porteuses devient essentiel pour sécuriser votre trajectoire.
💡À retenir :
- Une large part (70 %) des métiers en forte croissance en 2025 sont nouveaux dans les classements LinkedIn, signe d’une accélération des transformations du travail.
- L’IA, la cybersécurité, la data et les énergies renouvelables figurent parmi les secteurs les plus dynamiques à l’horizon 2026.
- La transition écologique et la modernisation de l’industrie créent des besoins en ingénieurs, techniciens et spécialistes RSE.
- La santé et la logistique restent deux piliers d’emploi massif et durable dans les prochaines années.
- Les métiers en vogue combinent technologies numériques, impact environnemental, sécurité, et compétences humaines (soft skills, adaptabilité).
1. Ingénieur en intelligence artificielle / Machine Learning
Les spécialistes de l’IA et du Machine Learning conçoivent les systèmes qui pilotent nos recommandations de contenus, la détection des fraudes, la maintenance prédictive ou encore les assistants virtuels.
Ils occupent désormais une place centrale dans les stratégies d’innovation des entreprises, bien au-delà du secteur purement “tech”.
À mesure que l’IA générative, les modèles de langage et l’automatisation intelligente se déploient dans la banque, la santé, l’industrie ou le commerce, la demande pour ces profils monte en flèche. Les études sur les métiers d’avenir classent les spécialistes de l’IA et ingénieurs en Machine Learning parmi les professions clés des prochaines années.
Pour réussir dans ce métier, il faut aimer résoudre des problèmes complexes, manipuler des volumes importants de données et être capable de travailler en étroite collaboration avec les équipes métier.
L’ingénieur IA ne se contente pas de “faire tourner des algorithmes” : il doit comprendre les enjeux business, les contraintes de sécurité et les impacts éthiques de ses modèles.
Côté formation, le métier est accessible après un Bac+5 en informatique, mathématiques appliquées ou data, complété par une spécialisation en intelligence artificielle.
Les parcours de type MBA ou mastère spécialisé en Big Data & IA permettent de consolider une expertise à forte valeur ajoutée sur le marché de l’emploi.
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💡Bon à savoir
En 2025, 91 % des entreprises utilisent au moins une technologie d’intelligence artificielle, et 54 % utilisent spécifiquement une IA générative.
2. Expert cybersécurité / Digital Trust Officer
Les cyberattaques se multiplient et touchent aussi bien les grandes entreprises que les PME, les collectivités ou les établissements de santé.
Dans ce contexte, les experts en cybersécurité et les profils “Digital Trust” deviennent indispensables pour protéger les systèmes, les données et, plus largement, la réputation des organisations.
Les classements 2025 des métiers en croissance confirment la présence durable de l’expert cybersécurité parmi les profils les plus recherchés, au même titre que les ingénieurs IA.
Ces professionnels analysent les risques, supervisent les défenses, coordonnent la réponse aux incidents et contribuent à instaurer une culture de sécurité à tous les niveaux de l’entreprise.
Le métier se situe à la croisée de la technique (réseaux, systèmes, cloud, tests d’intrusion) et de la gouvernance (conformité, gestion des accès, sensibilisation des équipes). Il requiert une veille permanente, car les techniques d’attaque évoluent aussi vite que les outils de défense.
Les parcours d’accès passent le plus souvent par un Bac+3 à Bac+5 en informatique, réseaux ou cybersécurité, enrichi de certifications spécialisées.
Les formations dédiées à la cybersécurité, à l’administration systèmes et réseaux ou aux architectures cloud constituent des tremplins naturels vers ces fonctions d’expertise.
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💡Bon à savoir
Aujourd’hui en France, plus de 15 000 postes en cybersécurité restent non pourvus, faute de candidats suffisamment formés. Cette pénurie crée une véritable opportunité d’emploi pour celles et ceux qui souhaitent se spécialiser dans le domaine.
3. Data analyst / Data scientist
Dans un environnement saturé de données, les entreprises ont besoin de profils capables de transformer les chiffres en décisions concrètes.
C’est le rôle des data analysts et des data scientists : collecter, nettoyer, modéliser et interpréter les données pour éclairer la stratégie, optimiser les processus ou personnaliser l’expérience client.
Les métiers liés à la data figurent parmi les professions d’avenir identifiées par les études sur les tendances emploi 2025-2026 : ils répondent à des enjeux transverses dans la finance, le marketing, la supply chain, la santé ou encore les RH.
Au quotidien, le data analyst produit des tableaux de bord, suit des indicateurs clés et travaille en étroite collaboration avec les équipes opérationnelles.
Le data scientist va plus loin dans la modélisation prédictive et la mise en œuvre d’algorithmes de Machine Learning. Dans les deux cas, une double compétence technique et métier est très appréciée.
Ce type de poste est accessible après une formation en statistiques, informatique décisionnelle ou data, souvent à partir d’un Bac+3 pour les fonctions analytiques et d’un Bac+5 pour les fonctions plus avancées.
Les parcours en Big Data, BI et data science structurent ces compétences autour de projets concrets.
4. Développeur full stack / Cloud orienté IA
Le développeur full stack reste l’un des profils les plus recherchés du numérique, mais son rôle évolue avec le cloud et l’IA.
Il ne se contente plus de coder des interfaces : il conçoit des architectures complètes, gère les API, orchestre des microservices dans le cloud et intègre des services d’IA dans les produits.
Ce métier est au cœur de la transformation digitale : il permet aux entreprises de lancer de nouvelles plateformes en ligne, d’industrialiser des services de e-commerce, de développer des applications internes plus ergonomiques et de déployer des fonctionnalités basées sur l’IA (recherche intelligente, assistants virtuels, automatisation).
La polyvalence est un atout majeur : un développeur full stack doit être à l’aise côté front-end (interfaces), Back-end (logique métier, bases de données) et infrastructure (hébergement, sécurité, performance).
La capacité à travailler en méthodes agiles et à collaborer avec les designers, les product owners et les experts data est également déterminante.
Les formations de niveau Bac+2 à Bac+5 en développement web, génie logiciel ou informatique, complétées par une spécialisation cloud / IA, permettent de se positionner sur ces postes.
5. Concepteur d’interactions humain–IA / UX designer IA
Le développement des assistants conversationnels, des interfaces vocales et des agents virtuels crée un nouveau besoin : concevoir des interactions fluides et compréhensibles entre l’humain et l’IA. C’est le rôle du concepteur d’interactions humain–IA, souvent issu de l’UX design.
Ce métier consiste à définir comment l’utilisateur pose ses questions, comment l’IA répond, quels scénarios sont prévus en cas d’erreur, comment rassurer sur la confidentialité des données ou encore comment rendre l’expérience inclusive.
Il nécessite des compétences en design d’interfaces, en psychologie cognitive et en compréhension des capacités (et limites) des modèles d’IA.
Alors que les entreprises multiplient les projets autour des chatbots, des outils d’assistance interne et des interfaces intelligentes, ces profils deviennent clés pour éviter les expériences frustrantes et renforcer la confiance des utilisateurs.
Les formations en design d’expérience utilisateur, product design ou communication digitale, combinées à une montée en compétences sur l’IA et les outils no-code / low-code, constituent une base solide pour se diriger vers ce métier.
6. Spécialiste du développement durable et des solutions climatiques
Entre pression réglementaire, attentes des clients et engagements climat, les entreprises ont besoin de spécialistes du développement durable capables de structurer et de piloter leur stratégie ESG (Environnement, Social, Gouvernance).
Ces professionnels identifient les enjeux prioritaires (émissions de CO₂, gestion des ressources, inclusion, achats responsables), définissent des plans d’action et mettent en place des indicateurs pour suivre les progrès.
Ils jouent un rôle d’interface entre la direction générale, les opérationnels, les investisseurs et les parties prenantes externes.
Les études sur les métiers d’avenir montrent que les spécialistes du développement durable et des solutions climatiques seront très recherchés dans les années à venir, au même titre que les ingénieurs en énergie verte.
Les parcours de formation intègrent de plus en plus la RSE, la comptabilité carbone, le reporting extra-financier et la conduite du changement.
Une base en management, en environnement ou en ingénierie, complétée par une spécialisation développement durable, constitue un atout majeur.
7. Ingénieur en énergie verte
Le passage des énergies fossiles vers les énergies renouvelables, les réseaux intelligents et l’électrification des usages crée une forte demande pour les ingénieurs en énergie verte.
Ces professionnels conçoivent, dimensionnent et déploient les installations solaires, éoliennes ou de stockage d’énergie. Ils travaillent aussi sur l’optimisation des réseaux, la gestion de la demande ou l’intégration de solutions innovantes dans les territoires et les industries.
Leur rôle est déterminant pour concilier performance énergétique, coût maîtrisé et baisse des émissions. Dans les années à venir, ils seront impliqués aussi bien dans les grands projets d’infrastructures que dans des programmes de rénovation et d’efficacité énergétique.
L’accès au métier passe par un cursus d’ingénieur ou de master spécialisé en génie énergétique, génie électrique ou bâtiment durable, avec une forte appétence pour les enjeux climatiques et la réglementation.
8. Technicien en énergies renouvelables
À côté des fonctions d’ingénierie, les techniciens en énergies renouvelables sont indispensables pour installer, maintenir et dépanner les équipements : panneaux photovoltaïques, éoliennes, pompes à chaleur, bornes de recharge, etc.
Les tendances du marché de l’emploi montrent que les métiers de la transition écologique font partie des secteurs qui vont recruter en priorité dans les prochaines années, notamment sur des fonctions opérationnelles de terrain.
Ce métier s’adresse aux profils attirés par la technique, le travail en extérieur et le contact client. Il nécessite des bases solides en électricité, en sécurité des installations et en lecture de plans, ainsi qu’une bonne capacité d’adaptation aux nouvelles technologies.
Les voies d’accès passent par des formations de niveau Bac à Bac+2 dans les domaines de l’électrotechnique, du génie climatique ou des installations énergétiques, complétées par des spécialisations sur les énergies renouvelables.
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💡Le saviez-vous
En 2023, on comptait 16,2 millions d’emplois dans les énergies renouvelables dans le monde, un record.
9. Manager de services médicaux et de santé
La santé est confrontée à un double défi : répondre à la hausse des besoins (vieillissement de la population, maladies chroniques) et intégrer de nouveaux outils numériques (télésanté, dossiers médicaux électroniques, analyse de données).
Les managers de services médicaux et de santé deviennent donc essentiels pour organiser et coordonner ces transformations.
Ils supervisent des équipes soignantes et administratives, gèrent des budgets, pilotent des projets de modernisation et veillent à la qualité des prises en charge.
Leur rôle est d’autant plus stratégique que la pression sur les établissements de santé augmente, tant sur le plan organisationnel que financier.
Les métiers d’encadrement dans la santé apparaissent dans les classements de métiers en croissance, notamment les postes de directeur d’établissement de santé.
Une formation en management de la santé, en gestion des organisations médico-sociales ou en administration des établissements constitue un socle pertinent, complété par des compétences en pilotage de projet et en conduite du changement.
10. Infirmier en pratique avancée et métiers paramédicaux
Les tendances professionnelles indiquent que les métiers paramédicaux (infirmiers, aides-soignants, auxiliaires de vie, accompagnants éducatifs et sociaux…) continuent d’être fortement sollicités et le resteront dans les années à venir.
Les infirmiers en pratique avancée, en particulier, prennent en charge des missions élargies : suivi de patients chroniques, éducation thérapeutique, coordination des soins, parfois en lien étroit avec les outils de télémédecine.
Les projections montrent que ces professions resteront au cœur des politiques de santé publique.
Au-delà de la technicité, ces métiers exigent de fortes compétences relationnelles, une grande résistance au stress et un sens aigu de l’éthique. Ils offrent des perspectives d’évolution vers la coordination, la formation, la spécialisation clinique ou le management.
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💡Bon à savoir
Les besoins en personnel de santé ne cessent de croître, alimentés par les départs massifs à la retraite, le vieillissement de la population, l’allongement de l’espérance de vie et une baisse d’attractivité de certaines professions.
Selon la DREES, les effectifs de professionnels de santé devraient ainsi augmenter de 37 % entre 2021 et 2050.
11. Ingénieur logistique / Responsable supply chain durable
Avec le développement de l’e-commerce, les tensions sur les coûts et la nécessité de réduire l’empreinte carbone des transports, la logistique devient stratégique.
Les classements des métiers les plus en vogue en 2025-2026 mettent d’ailleurs en avant des postes d’ingénieur logistique, ingénieur performance ou de responsable de projet industriel parmi les fonctions en forte croissance.
L’ingénieur logistique ou responsable supply chain durable travaille sur l’optimisation des flux, la modernisation des entrepôts, la rationalisation des transports et, de plus en plus, sur la réduction des émissions de CO₂ (choix des modes de transport, mutualisation, circuits courts).
Il doit manier à la fois les outils numériques de pilotage, les indicateurs de performance et la gestion de projets impliquant de nombreux acteurs (fournisseurs, transporteurs, clients, services internes).
Les formations en logistique, supply chain, industrialisation ou génie industriel permettent de se positionner sur ces postes, notamment avec une coloration “durable” ou “green logistics”.
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💡Le saviez-vous
Le secteur de la logistique représente près de 10 % de l’emploi salarié en France, ce qui en fait le 5ème plus grand recruteur en France.
Il mobilise plus de 1,8 million de professionnels, un volume qui continue de progresser avec le développement de l’e-commerce et la transformation des chaînes d’approvisionnement.
12. Responsable RSE / Performance environnementale
Le Responsable RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) incarne la volonté des organisations de concilier performance économique, impact environnemental et engagement social.
Ce métier, identifié dans plusieurs classements de métiers en vogue, se structure et gagne en responsabilité.
Il coordonne les actions RSE, pilote les plans climat, anime des démarches d’inclusion, travaille sur les achats responsables et prépare les rapports extra-financiers attendus par les investisseurs et les régulateurs.
Dans de nombreuses entreprises, il devient un interlocuteur privilégié des directions générale, financière et RH.
Les profils qui réussissent dans cette fonction combinent une solide culture des enjeux environnementaux et sociaux, des compétences en gestion de projet, en communication et en analyse de données (indicateurs, reporting, KPI ESG).
Les parcours en management, développement durable, QHSE ou gestion de projets de transformation offrent des bases solides, complétées par une spécialisation en RSE.
FAQ
FAQ
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Quels sont les métiers qui vont le plus recruter d’ici 2026 ?
Les métiers qui vont le plus recruter d’ici 2026 se situent principalement dans quatre grands domaines : l’intelligence artificielle et la data (ingénieur IA, data analyst, data scientist), la cybersécurité, la transition écologique (ingénieur et technicien en énergies renouvelables, spécialistes RSE) et la santé/organisation des soins (infirmiers, managers de services médicaux).
La logistique et la supply chain durable restent également très dynamiques, portées par l’e-commerce et les enjeux de décarbonation. L’enjeu n’est pas seulement le volume d’emplois, mais aussi la capacité de ces métiers à offrir des perspectives d’évolution et une relative sécurité de l’emploi.
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Comment Studi peut m’aider à préparer un métier en vogue ?
Chez Studi, nous proposons des formations à distance spécialement conçues pour répondre aux besoins des secteurs en croissance : data et IA, cybersécurité, développement web, management, logistique, RH, gestion de projet, RSE, services à la personne et bien d’autres.
Les parcours sont structurés autour de projets concrets, d’un accompagnement humain et d’une grande flexibilité pour concilier formation, vie personnelle et activité professionnelle.
En choisissant une formation alignée sur l’un des métiers en vogue présentés dans l’article, vous pouvez construire une trajectoire de reconversion ou de montée en compétences progressive, avec un véritable objectif d’employabilité à la clé.
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Faut-il absolument un Bac+5 pour accéder aux métiers en vogue ?
Non, tous les métiers en croissance ne nécessitent pas un Bac+5. Certains, comme les postes de technicien en énergies renouvelables, de professionnel de la logistique ou de services à la personne, sont accessibles avec un Bac ou un Bac+2, parfois complétés par des certifications spécifiques.
Les niveaux Bac+3 à Bac+5 restent cependant privilégiés pour les fonctions d’ingénierie, de data, d’IA, de cybersécurité ou de management de services. L’important est d’aligner votre niveau de formation sur la réalité des attentes du métier visé et de continuer à vous former régulièrement.
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Comment savoir si un métier “tendance” me correspond vraiment ?
Un métier en vogue n’est pas forcément le bon métier pour vous. Avant de vous lancer dans une formation, il est utile de croiser plusieurs éléments : vos appétences (ce que vous aimez faire au quotidien), vos compétences actuelles, vos contraintes de vie et vos ambitions à moyen terme.
Les fiches métiers détaillées, les tests d’orientation, les échanges avec des professionnels (webinars, salons, réseaux sociaux professionnels) et les immersions ou stages sont de bons moyens de vérifier si le contenu réel du métier correspond à vos attentes.
L’objectif est de trouver un équilibre entre attractivité du marché et épanouissement personnel.
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Quels sont les risques à choisir un métier très lié à l’IA ?
Les métiers fortement liés à l’IA évoluent vite, ce qui peut donner l’impression d’un environnement instable. En réalité, le principal risque n’est pas tant la disparition des métiers que l’obsolescence de certaines compétences.
Pour limiter ce risque, il est recommandé de se former sur des fondamentaux solides (algorithmique, langage de programmation, compréhension des modèles) plutôt que sur un outil ou une plateforme unique, et de rester en veille permanente.
La capacité à apprendre rapidement, à tester de nouveaux outils et à adapter ses pratiques devient une compétence centrale dans ces métiers.
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Les métiers de la transition écologique offrent-ils vraiment des débouchés ?
Oui, la transition écologique ne relève plus seulement du discours : elle se traduit déjà par des besoins concrets en ingénieurs en énergie verte, techniciens en énergies renouvelables, spécialistes du développement durable et responsables RSE.
Ces postes sont portés par des objectifs climatiques nationaux et européens, par des réglementations de plus en plus exigeantes et par une pression croissante des clients et des investisseurs.
Les débouchés sont particulièrement intéressants pour les profils capables de combiner expertise technique, compréhension des enjeux environnementaux et compétences de gestion de projet.